Vendredi 29 mai dans le Valais, nous étions douze sur onze montures.
Le calcul est laborieux ! Une fille et un tandem c’est un peu la quadrature du cercle.
Le plus grand nombre, partis de Thonon, n’attendirent les voiturisés guère plus d’un quart d’heure à St Gin …
Partis par la rive droite, c’est peu avant Martigny je cite de mémoire :
- Avec Martigny
- Martigny
- Martigny,
- Le monde entier
- Chante et sourit
- Y’a rien d’meilleurs qu’un vrai Martigny (bis)
- Et si vous voulez régaler vos z’amis
- Offrez un Martigny !
- Martigny l’apéritif de renommée mondiale !
C’est peu avant Martigny, influencées sans doute par les monstrueuses tubulures des raffineries valaisannes, que celles de vôt’ serviteur firent valoir leur droit de vidange.
Un bosquet opportun, interdit depuis aux promeneurs, pêcheurs et mariniers recueillit fort à propos l’offrande pour ne pas dire la largesse.
Il était temps !
L’endroit restera comme bénéfique pour les asthmatiques poitrinaires et phtisiques pour les siècles des siècles …
Comme quoi il ne faut pas consommer trop de soupe aux choux mijotée à l’huile de cheval avant de cycler.
Jean Claude B. dirait » bîn mon colon ! »
L’aventure pour autant ne restera pas dans les » anales « .
Fi de chronique scabreuse !
…………….
Après un casse croûte confortable autour du feu (authentique), c’est au centre de Martigny que nous prîmes le café offert par Françoise.
Lucien confia à Jacky le soin de crever à sa place pour que ce » ne soit pas toujours les mêmes ! »
Ah ! les braves gens ! un pet de l’arrière du promu, permit à chacun de souffler un peu, si j’ose dire, après une chevauchée fantastique face à la bise.
Bon j’arrête là.
Temps magnifique, bise de fesse à l’aller, ouragan de face au retour, cent cinquante kilomètres pour certains, la plus belle compagnie qui soit au monde,
Z’auriez du v’nir !
jp