Neuf pauv’ Clampins à l’ouvrage aujourd’hui à l’approche de Novel.
Une température ambiante mesurée, ressentie, vérifiée, largement supérieure au QI de Zlatan !
Comment « alors ça caillait quand même » ?
La canicule bute,
la canicule lasse,
la canicule comment veux-tu ? (1)
Bref, la canicule ôte.
Bon j’arrête comme on dit chez Charles Pertuiset ™.
Au pied de la montagne nous fîmes trois groupes d’attaque :
- Le groupe à Dédé pressé d’en finir …
- Le groupe à Roger performant, puissant … en un mot pyrénéen !
- Vôt serviteur, SEUL, calme, posé, beau, grand, fort, compétitif, pur, élégant, impérial, modeste …
En tête des pelotons, il ignore de ce fait avec qui les deux filles ont grimpé …
Pardon !
Il ignore qui accompagnait les deux filles pendant cette escalade redoutable.
Circulation automobile démente sur la route infernale, température estivale, ablutions à Novel et St Gingolph offertes par Mireille, Françoise, Serge, (2)
Balthazar chez Roger, aglou aglou aglou (il est des nôtres …) Serge, pour se réchauffer, est rentré à Marin par l’X …
Bref !
Z’auriez du v’nir.
jp
1/ Je sais je l’ai déjà fait plusieurs fois, mais qui c’est qui commande ?
2/ J’espère que je n’ai oublié personne !
Tous les détails et même plus !
https://connect.garmin.com/activity/857886084
ya des traversins ?
Tu devrais dormir dans les cinq étoiles Claude, les lits sont garnis l’ambiance ouatée … 🙂
jp
le claudio est nettement moins bon
mais je vais etudier le JeanPolo
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Claudio Profite de cette pluie d’été, pour terminer et écrire dans un francais presque lisible le récit de la bambée aux sources de la Loire
la suite sur
http://cbandiera.free.fr/recits/2015-loire/e2.php
les images
http://cbandiera.free.fr/recits/2015-loire/F/
Tchoo comme disent les voisins
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voici l’étape Une
Vendredi 24 juillet 2015 : Faverges Grenoble Voreppe (132 km) , par le chemin des écoliers..
http://cbandiera.free.fr/recits/2015-loire/e1.php
Si j’ai encore rêvé d’elle, elle a apparemment, rêvé de moi, mais sta matin : retour à la voie-verte-faverges-ugine-2015réalité, et on the road again sur le désormais chemin des écoliers.
Le réveil étant difficile, il est déjà huit heures, et comme d’hab les premiers coups de pédales sont lourds et difficiles.
Mais il suffit de passer le pont .. d’englannaz et c’est l’aventure.
Vu l’heure avancée, nous croisons de nombreux couraillons en route pour affronter les grands cols des Alpes, effet tour de France oblige, et nous, nous roulons à plat.
Mais nous ne sommes pas des dégonflés pour autant.
Nous passons Grenoble sans même jeter un œil à la Bastille, ni même à la ville, pour nous enfiler directement au niveau du pied du fameux téléphérique, le long des l’isere, sur la piste cyclable surchauffée.
Après quelques hésitations dans une morne zone industrielle, dominée par d’inquiétantes barres rocheuses, voici notre superbe Hôtel; le formule Un, de type boite à sardines : pas la meilleure solution pour soigner une déprime naissante.
La soirée se passera entre télévision, branlette et bruits agressifs du voisinage : mais demain est un autre jour.
Merci Claude !
Tu es indulgent !
jp
ya du blondin mélé a audiard dans Jean Polo
cb